Dans la vallée du Derbous, on l’a dit, la vie sauvage se porte bien et la diversité des espèces est au rendez vous. Mais la cohabitation avec les humains est parfois difficile.
En particulier, les castors se sont établis voici longtemps dans le Derbous et ils s’y trouvent bien ; ils n’ont pas de prédateurs sérieux et se reproduisent avec entrain. Mais ils ne se contentent pas de coloniser la rivière…
Voici par exemple un moulin, celui d’Aygue-Astaud, présent depuis des temps immémoriaux au même endroit, avec son système sophistiqué d’adduction, de canaux dirigeant autrefois l’eau vers les roues à aubes transmettant la force à un système mécanique.
Comment les pauvres bêtes pourraient-elle comprendre qu’on n’est pas toujours dans le domaine de la nature mais de la gestion de l’environnement et des ressources destinées aux humains ? Elles font donc leur œuvre avec efficacité et, pour tout dire, pas mal de dégâts.
Que peuvent alors faire les propriétaire ?